vendredi 10 janvier 2014

Les plus de 70 ans s'élèvent contre leur exclusion des programmes AAD


وزير السكن عبد المجيد تبون: أقساط سكنات عدل ستزيد قيمتها بزيادة تكاليف الانجاز

صرح وزير السكن و العمران عبد المجيد تبون أن أقساط سكنات وكالة عدل ستكون مرتبطة بالعديد من العوام..
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آخر تحديث : 16:34 | 2014-01-07
الكاتب : علي العقون

صرح وزير السكن و العمران عبد المجيد تبون أن أقساط سكنات وكالة عدل ستكون مرتبطة بالعديد من العوامل ، و التي تتأثر بها بصورة مباشرة ، و هي الزيادة في تكاليف انجاز هده السكنات بالنسبة للشركات التي تتولى المشاريع.
 و قال تبون  في تصريح للصحافة على هامش زيارة الوزير الأول عبد المالك سلال و طاقم من الوزراء الى ولاية معسكر اليوم "انه من المنطقي أن تتأثر أقساط سكنات عدل بالزيادة في تكاليف انجازها ، فبعد دفع القسط الأول الذي يبلغ مليون و نصف مليون دينار ، ستكون الأقساط المتبقية مرهونة بسعر المواد الأساسية في عملية البناء مثل البلاط  ، و التي تزيد من التكاليف التي تقع على عاتق الشركة المنجزة"، مؤكدا أن ارتفاع أسعار العقار هو ظاهرة لا تشمل مناطق بعينها ، و انما هي موجودة في الشمال و في الحنوب بالرغم من توفر الأخير  على مساحات شاسعة.

و عاد تبون الى قضية توفير السكنات للأساتذة  و الأطباء  في الولايات التي لا تتوفر على سكنات وظيفية ، معتبرا أن وزارته وضعت آليات "فعالة" من أجل تدعيم هذه الفئة على الاستقرار بهده المناطق و خاصة في الجنوب.
و في هدا السياق دائما قال تبون ان عملية بيع السكنات الوظيفية  هي ظاهرة سلبية ، مؤكدا أن وزارته ستتخذ اجراءات تجعل هذا النوع من الممارسات لا يمر.
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Logement promotionnel public (LPP)

Début des convocations à partir du 15 janvier

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le 09.01.14 | 10h00 1 réaction

Les souscripteurs retenus dans le cadre du programme de Logement promotionnel public (LPP) recevront leur convocation à partir du 15 janvier.

 Ils devront ainsi s’acquitter du paiement de la première tranche du montant global de leur logement LPP, a ainsi annoncé le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune, cité par l’APS. La première tranche est fixée à 1 million de dinars, tandis que la deuxième tranche, qui doit être versée huit ou dix mois plus tard, est de l’ordre de 1,5 million de dinars.
Concernant le montant global d’un logement de type LPP, le ministre a indiqué que le prix de revient du mètre carré déterminera le prix final de ce logement. Ce prix est «fluctuant» et tributaire du coût de la main-d’œuvre, des matériaux de construction et des différents équipements. «Le logement LPL étant de type semi-standing et amélioré, il faut s’attendre à ce que le prix du mètre carré soit au-delà de 45 000 DA, tandis que le prix du mètre carré du logement social tourne autour de  37 000 DA», a expliqué M. Tebboune. Mais les modalités d’acquisition de ces logements, à peine annoncées, font grincer des dents.
De nombreux souscripteurs estiment ainsi que les montants des tranches sont trop élevés pour un seul versement, jugeant qu’un autre échelonnement serait préférable.
D’autant plus que le peu de temps qui leur ait imparti afin de réunir ces sommes ne sont pas faits pour les aider. Ce programme est destiné à des postulants pouvant justifier des revenus compris entre 6 et 12 fois le SNMG, qui équivaut à un salaire mensuel de plus de 108 000 DA. Cette année, ce sont 70 000 logements promotionnels publics qui seront mis en chantier par l’ENPI, et ce, sur les quelque 151 850 LPP inscrits dans le cadre du plan quinquennal, dont 50 000 prévus à Alger. La moitié de ces logements LPP seront des F4 d’une superficie de 100 m². Il y aura un quart de F5 d’une superficie de 120 m², le reste étant des F3 de 75 m². Les cités de logements LPP seront dotées d’équipements de proximité, de locaux de service et de commerce, d’espaces verts, ainsi que d’aires de jeux et de loisirs.
R. S.

L'Évènement

Des citoyens s'interrogent sur la base juridique d'une telle décision

Les plus de 70 ans s'élèvent contre leur exclusion des programmes AAD

  • Publié le 07.01.2014 à 18:27, Par :
Par
Karima Mokrani
L’actualisation des dossiers des postulants au logement Aadl, programmes 2001 et 2002 terminés, et le versement de la première tranche du prix initial effectuée progressivement, dans des conditions globalement satisfaisantes, il reste encore un problème en suspens. Celui des souscripteurs dont l’âge est supérieur à 69 ans, exclus de l’opération en raison, justement, de leur âge. Lyas Benidir, le directeur de l’Aadl est au fait du problème. Les représentants des souscripteurs -qu’il rencontre, de manière régulière, au siège national de l’Agence, sis à Saïd Hamdine (Alger) pour un point de situation- lui en ont fait part. En 2012 déjà, il avait promis d’examiner le problème et de trouver des solutions alternatives. Les concernés se considérant comme victimes, attendent du concret mais ne voient rien venir. Ils désespèrent de leur situation et crient leur désarroi. Ils demandent à rencontrer directement le DG dans
l’espoir d’arracher une autre promesse, celle de revenir sur sa décision de les exclure à cause de leur âge. Ils lui ont envoyé une lettre et attendent une réponse favorable, comptant sur sa «compréhension» et son «sérieux». Outre les concernés directs par ce problème, des citoyens expriment leur indignation. Ils s’élèvent contre cette décision d’exclusion qu’ils qualifient d’injuste et s’interrogent sur les bases juridiques qui en seraient à l’origine. «On aimerait bien savoir quels sont ces textes qui interdisent à un citoyen algérien de postuler un logement parce qu’il est trop vieux ou trop jeune», lance un homme, la soixantaine. Et un autre de poursuivre : «En plus de cela, est-ce que c’est de leur faute si leur demande de logement n’a été satisfaite que 13 ans après?» Une femme, la cinquantaine, estime que c’est à l’Aadl et au gouvernement algérien, de façon générale, d’assumer leurs erreurs passées dans le traitement des dossiers des deux programmes 2001 et 2002, avant de rejeter une quelconque responsabilité sur le simple citoyen. D’autres postulants, dont le salaire a été nettement augmenté depuis 2001 et 2002, ont vu leurs dossiers transférer à l’Enpi pour la formule LPP. Acceptant la chose, bon gré mal gré, ils demandent au moins à ce que leurs dossiers, dans le cadre de la nouvelle formule, soient traités en priorité, par rapport aux nouveaux postulants. D’autres citoyens s’interrogent sur les prix futurs, le paiement par tranches -et pourquoi pas le paiement total de l’appartement?- la disponibilité des espaces d’accompagnement et autres. La mission dont a été chargé l’ancien directeur de l’Eplf de Béjaïa est loin d’être facile. Il a de grands défis à relever.
K. M.

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